Diagnostic de réactivité Nom *Diagnostic de réactivitéIl n’existe pas d’outils de lecture des performances. La prise de décision est irrationnelle. Il n’existe pas de capteurs de réactivité. Il n’existe pas de prise en compte des menaces potentielles. Il n’y a pas d’indicateurs de non réactivité.Il existe quelques indicateurs de gestion. Il n’existe pas d’analyse des réussites et des échecs, ni de suivi de la position concurrentielle. La prise de décision est irrationnelle mais collective. Le management n’est pas préoccupé par la réactivité. Le système qualité est vécu comme une contrainte par les opérationnels.Le contrôle de gestion existe mais ne traverse pas toutes les fonctions. La politique Qualité est claire mais les non conformités ne résonnent pas comme des signaux d’alerte. La stratégie est porteuse d’une ambition de réactivité. La prise de décision est rationnelle parfois. Les indicateurs de non réactivité sont suivis mais n’entraînent pas de modifications des fonctionnements.Le contrôle de gestion est omniprésent, les chiffres sont en action dans tous les services. Les indicateurs financiers de non réactivité sont scrutés avec attention et réduits très régulièrement. La prise de décision est rationnelle et la stratégie repose régulièrement la question de l’appréhension de l’inconnu. Le management est soucieux de la réactivité au quotidien et s’appuie sur une politique de délégation à tous les étages. L’organisation est au service des projets et des objectifs à atteindre.La stratégie est claire, partagée à tous les niveaux, elle a identifié les indicateurs clés financiers et extra-financiers de réactivité à surveiller. Les dysfonctionnements sont considérés comme des sources d’optimisation potentielles. L’organisation est souple, les comportements sont agiles. La subsidiarité s’applique à tous les niveaux. Les outils qui permettent de réduire l’incertitude (indicateurs d’anticipation) sont régulièrement repensés et revisités.Enregistrer mes réponses